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Les Mésens, qui sont-ils ?

Voilà ce qui pourrait être le sujet d'un autre roman, la Genèse d'Exoterra !

Les Mésens, d'où vient ce nom d'abord ? Le mot "Mésen" provient d'une école de surdoués appelée "Mensa". Je me suis inspirée de ce nom et l'ai modifié pour devenir "Mésen", afin de représenter les caractéristiques spécifiques et, surtout, uniques de cette nouvelle branche humaine, créée par des scientifiques, les mêmes qui ont modifié l'ADN des Zalis. Comme je le spécifiais dans un blogue précédent, un scientifique a voulu parfaire la race humaine en améliorant l'espérance de vie des humains, diminuer leur vulnérabilité face aux maladies, etc; bref, améliorer leur bien-être est devenu l'obsession de cet homme.

Au fil des siècles, ces humains vivant sur Queirt-Zalis ont aussi appris à vivre avec le peuple aborigène, les Zalis, les invitant à vivre parmi eux. Ils ont ainsi créé, dans cette nouvelle société, des liens tout à fait particulier entre eux, amenant une harmonie qui est allée au-delà de toute attente. Ensemble, ils ont inventé, innové, avec une technologie avant-gardiste, dans une société d'envergure. Aussi, créant le fameux Transbordeur, les Mésens sont devenus dans cette partie de l'univers, les Maitres incontestés devant les autres colonies humaines dans le système de Vonam, que ce soit en socio-politique, scientifique ou en diplomatie.

Leur hiérarchie, supérieure à celle des autres colonies, s'est vue transformée en créant une symbiose avec les Zalis, êtres considérés par la plupart des humains non modifiés, comme encore des bêtes. De plus, cette symbiose, qu'elle soit accidentelle ou non, protégait ces êtres modifiés en garantissant la survie de tous et chacun.

Contre toute attente, ils ont ainsi formé une synergie entre les deux races, mais seuls les Mésens ont la capacité de provoquer le "lien mental" ou télépathie, entre eux ou avec d'autres. Cette particularité se manifestait par le toucher et une personne pouvait aller lire les quelques pensées chez l'autre partenaire ou encore dans certains cas, modifier cette même pensée. Autrement dit, reprogrammer le processus de la méthode de penser, sans altérer sa logique.

Ce procédé n'était pas sans laisser de trace, par contre. La personne qui subissait un contact mental de la part d'un Mésen, ressentait un engourdissement dans les membres pour remonter jusqu'à la nuque puis le crâne. L'impression de cette emprise sur le cerveau se manifestait pour quelques minutes, jusqu'à ce que ces symptômes se dissipent complètement.

Quant à la symbiose, elle est devenue au fil du temps, le caractère propre aux Mésens et aux Zalis. Ils ont ainsi procédé avec ce qu'ils ont appelé le"Rituel de la Vie", procédé par lequel les deux races se fusionnaient pour ainsi assurer leur protection. Entre eux, se dégageaient une énergie qui allait stimuler leurs fonctions cellulaires, donc leurs fonctions organiques, phénomène qui s'est développé exponentiellement. Il a donc entraîné certaines conséquences vitales pour ces deux peuples. Les Mésens ont vu leur espérance de vie prolongée jusqu'à 150 ans, alors que les Zalis ont vu la leur prolongée à plus de 80 ans. Les maladies étaient rares et leur qualité de vie exceptionnelle.

Mais un jour, un scientifique a cru bon de modifier l'ADN des Zalis à nouveau afin de rendre cette race indépendante des Mésens, donc la fusion ou Rituel de la Vie, ne serait plus nécessaire entre les deux groupes. Après maints essais, cet homme a créé ainsi une toute nouvelle race de Zalis, les rendant plus autonome, moins dépendants des Mésens. Devenus toutefois avec une personnalité plus agressive, ces nouveaux Zalis ont présenté des capacités guerrières, alors que les Zalis primaires étaient plutôt reconnus pour leur attitude pacifique.

C'est ainsi qu'un jour, une grande guerre éclata...

Élanaii Kara, dernière survivante mésen sur Exoterra
Joran Gallaen, le Mésen, tome 2 et 3.

Dame Namoé, femme mésen et Notable du Cercle Législatif de la mégacité de Sokesto.

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